Temoignage_VN_projet_biogaz
Grâce à notre cuisinière à biogaz, nous n’avons plus besoin d’aller chercher du bois.
Mông Thu, mère de 2 enfants, Tra Cù, Vietnam
Grâce à notre cuisinière à biogaz, nous n’avons plus besoin d’aller chercher du bois.
Mông Thu, mère de 2 enfants, Tra Cù, Vietnam
Mes enfants n’ont plus eu de diarrhée depuis six mois. C’est un soulagement. Les maladies liées à l’eau ont quasiment disparu du village. Comme nous sommes moins malades, nous pouvons économiser de l’argent et améliorer notre productivité économique.
Kalo, mère de 4 enfants du village de Kianjasoa à Madagascar
Nous avions une récolte de tout juste 750kg de paddy avant la mise en place de l’irrigation agricole, ce qui ne nous permettait même pas de couvrir la consommation annuelle de ma famille. Notre production a triplé depuis! L’autre avantage est que nous pourrons cultiver notre surface durant toute l’année.
Georges, propriétaire de 1.8ha d’Ambatomitsangana à Madagascar
Avant, nous vendions notre bétail pour éviter de mourir de faim. Aujourd’hui, nous avons suffisamment à manger grâce à la banque de céréales communautaire !
Madou Thiaw, habitante de Touba Cocky au Sénégal
A cause du changement climatique, les cultures de la saison des pluies ne nous permettent plus de vivre. Aujourd’hui, grâce aux jardins et aux puits, nous cultivons toute l’année. Nous avons assez à manger et pouvons même vendre une partie de notre production.
Mariam Ouedraogo, mère de 5 enfants à Zouma au Burkina Faso
Ce pont a changé ma vie ! Avant je devais me faire apporter les semences et l’engrais par bateau, ce qui coûtait cher. Maintenant, avec le nouveau pont, je peux emmener tout ça avec ma moto directement chez moi. Grâce à l’argent économisé, je me suis lancé dans l’élevage de cochons.
Luu Minh Duc, agricultrice de Lương Tâm au Vietnam
Depuis votre appui, nous ne craignons plus les colons et nous pouvons vivre normalement dans notre forêt. Nous continuons à la protéger car elle abrite tout ce qui a un sens pour nous.
Felipe Ëpë, chef de communauté, Apurimac, Pérou
Nous disposons désormais d’une infrastructure adaptée à l’enseignement. Elle représente une grande différence. Désormais, les salles sont séparées les unes des autres, ce qui permet de capter l’attention des élèves plus facilement et d’éviter les distractions.
Awn Cing, enseignante de l’école de Phaitu au Myanmar
Auparavant, je me rendais à Diourbel pour me faire soigner, malgré mes faibles moyens, car les conditions de prise en charge étaient de piètre qualité localement. J’avais peur que ma maladie ne s’aggrave. Désormais la situation est toute autre. Ndindy dispose d’un poste de santé de qualité inégalée en milieu rural.
Saliou Sene, habitant du village de Ndindy au Sénégal
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